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Entre la nostalgie et le bonheur de t'​ê​tre rendu là

by Distance Critique

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1.
Arvida 04:39
Je veux passer du connu à l'inconnu M'isoler dans ma p'tite case et fermer les lumières Acquérir des connaissances, de-twister mon âme Me r'donner les sensations d’être un millennial Men, j'tanné que toute mes amis s'en aillent Y'a pu rien qu'moi pis les autres dans cette ville trop tranquille Mes souvenirs ont un goût de déception et prennent toute la place dans ma tête J'ai soulevé les encres, qu'tavais mises en place Mon corps a retrouvé sa place, dans ma tête J'ai le corps qui s'envole en fumée Grise comme l'horizon d'arvida C'est l'amour qui s'extirpe de tout le monde Quand les amis partent et ne reviennent pas J'ai passé mes vacances à rien foutre D'autre que de d'essayer de m'amuser Sachant très bien que ça s'en irait bien assez vite J'ai pas peur des obligations, mais j'sens qu'les complications Vont emporter toutes ces heures passées Qui ont nourrit notre esprit, notre manière de penser J'ai soulevé les encres, qu'tavais mises en place Mon corps a retrouvé sa place, dans ma tête J'ai le corps qui s'envole en fumée Grise comme l'horizon d'arvida C'est l'amour qui s'extirpe de tout le monde Quand les amis partent et ne reviennent pas J'ai le corps qui s'envole en fumée J'ai le corps qui s'envole en fumée J'ai le corps qui s'envole en fumée Grise comme l'horizon d'arvida C’est l'amour qui s'extirpe de tout l'monde Quand les amis partent et ne reviennent pas J'ai le corps qui s'envole en fumée Grise comme l'horizon d'arvida C’est l'amour qui s'extirpe de tout l'monde Quand les amis partent et ne reviennent pas J'ai le corps qui s'envole en fumée Grise comme l'horizon d'arvida C’est l'amour qui s'extirpe de tout l'monde Quand les amis partent et ne reviennent pas (et ne reviennent pas)
2.
On dirait que t’es parti Ta voix raisonne encore et j'm'ennuie Peut être que tu m’oublie Laisse moi te revoir encore pour une nuit Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie? Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie? J’peux pas rester assis Les jours s’enlacent et s’entassent Dans ma pile de chose à refaire Et j’dois encore partir J’arrêterais l’arrêter l’temps, qu’on l’oublie Mais c’est qu’ont peut pas toute avoir Et même si, j’rentre tard, encore, Ahahhhhh Sera tu, debout Et même si l’piano fausse de temps en temps et que j’ai l’air un peu moche vas tu m’attendre Encore, ce soir Encore, ce soir, ohohah Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie ? Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie ? Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie ? Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie ? Et même si je repars ce soir, vas tu revenir me voir encore demain ma chérie ? Tu viens, je repars, tu pars, j’reviens, tu m’mords, je me meurs, je repars, j’ai peur, t’es forte et on vit Tu viens, je repars, tu pars, j’reviens, tu m’mords, je me meurs, je repars, j’ai peur, t’es forte et on vit
3.
Hey oh Avec toi Plus Hey oh Avec toi Plus Et j’espère encore Que c’est dur de s’en aller Qu’après deux ans d’espoir De lunettes rosées mais de regards qui pâlissaient Dès le départ On n’a jamais su partager En voulant trop fort On s’est puisé et puis épuisé Tant qu’on n’aura pas vu d’étoiles ensemble Dis-moi Qu’on repart les deux plus forts ou bien qu’j’ai tort Crois-moi Quand j’te dis qu’on est prêts à voler à sauter les caps Fais confiance aux yeux qu’on s’est faits Rapproprie toi les lieux qu’on était Laisse aller au rythme des vagues J’t’attends au bord nu-pieds sur la plage J’ai pris mon char et je suis allé te chercher Il se faisait tard j’crois que ça l’a déboulé Les forces que tu ne pouvais pas contrôler T’ont poussé dehors coin De la reine - Lettelier Moi jeune et con j’ai dû t’appeler dix fois J’suis sorti et j’ai retracé tes pas Mes chums au bar voulaient m’voir apparaître Sachant qu’on se comprenait pas comme à toutes les fois Tant qu’on n’aura pas vu d’étoiles ensemble Ct’une métaphore pour te demander si ça fait du sens Dis-moi Qu’on repart les deux plus forts ou bien qu’j’ai tort Crois-moi Quand j’te dis qu’on est prêts à voler à sauter les caps Fais confiance aux yeux qu’on s’est faits Rapproprie toi les lieux qu’on était Laisse aller au rythme des vagues J’t’attends au bord nu-pieds sur la plage J’ai le mal de mer, le cœur à vif Prêt à partir mais pas à fuir J’fais confiance aux mots qui résonnent Ce qui vibre en moi et qui t’étonne Fais confiance aux yeux qu’on s’est faits Rapproprie toi les lieux qu’on était Laisse aller au rythme des vagues J’t’attends au bord nu-pieds dans l’orage Dis moi
4.
Mea culpa 03:25
J'ai fait fausser mon bonheur, à travers mes mots Oublié de t'donner l'temps que tu méritais J'ai les yeux tournés vers le passé Je remet en question mes valeurs plus souvent qu'autrement J'essaie d'ajuster mes actes mais c'est plus difficile Parce qu'en ton absence Je pense plus à mes dépendances Qu'à la vie que j'en train d'construire avec toi J'ai besoin d'une renaissance Mais j'peux pas l'formuler J'suis plus capable de mentir À tout l'monde qui croise mes pas J'sens un nihilisme grandir Qui prend l'contrôle de moi J'ai l'goût de tout recommencer, brûler ces idées Qui me remplissent le crâne de concepts épuisés Si jt’aussi seul est-ce que c'est parce que j’trop lâche Pour construire quelque chose de durable ? (N’as tu pas l’goût de quelque chose de durable ? ) Ça vaut pas la peine de déprimer Mais faut voir les choses en face Y'a pas de peine qui va pas laisser sa trace Même si j'donne l'impression d'vouloir me repentir J'suis sûr qu’il m’reste encore plus de mal que d'bien à venir J'veux pas juste être un autre artiste Pour t'faire pleurer devant son mea-culpa Mais j'sens tous ces regards qui me fuient Si j'ai le malheur de parler d'moi J'veux faire un bruit du coeur Qui va tout juste finir à maison J'vais juste calmer ma rage Comme la sécheuse qui finit dans l'salon J'veux faire un bruit du coeur Qui va tout juste finir à maison J'vais juste calmer ma rage Comme la sécheuse qui finit dans l'salon J'veux pas faire mon mea culpa Mais j'ai du sable dans les idées S'il te plait rapproche toi de moi S'il te plait décroche moi de toi J'veux pas faire mon mea culpa Mais j'ai du sable dans les idées S'il te plait rapproche toi de moi S'il te plait décroche moi de toi J'veux pas faire mon mea culpa Mais j'ai du sable dans les idées S'il te plait rapproche toi de moi S'il te plait décroche moi de toi J'veux pas faire mon mea culpa Mais j'ai du sable dans les idées S'il te plait rapproche toi de moi S'il te plait décroche moi de toi
5.
Enfants d’un pays, d’une boîte en carton D’une terre drainée, vendue pour l’appat de l’élection Qu’on se raconte encore, comme l’histoire du bon colon En oubliant l’horreur, le drame et le crime de nos ambitions Révolution trop tranquille, mon boss parle maintenant français On dirait que l’ambition s’est perdue dans l’élan du progrès Éducation trop fragile, mon avenir a de l’intérêt Si les chances sont égales ben c’est que je dois être vraiment mauvais Quand je ferme les yeux, j’entends encore les voix De ceux et celles, avec qui j’ai uni mes pas On a marché, en pensant qu’on changeait le monde Qu’une fois ensemble, devant l’évidence, ils nous écouteraient On a frappé, en pensant qu’on créait le monde, Et le capital, nous a dépeints, comme la source du problème Comme si la colère n’était pas la seule émotion qui se développe Quand on voit son monde se modeler à la volonté du marché Fait qu’on s’est promis, une révolution On a déchiré nos chemises devant l’inaction D’une entière génération, d’un monde qu’on lui a légué, Et qui protège sa chance en clamant l’avoir bien méritée En février dans la rue, ta présence réchauffe ma main Le printemps risque d’être long j’en aurai probablement besoin Au mois de juin dans tes yeux, y’a une flamme qui s’est éteinte L’urne a failli porter autre chose que des espoirs en courtepointe On a marché, en pensant qu’on changeait le monde Qu’une fois ensemble, devant l’évidence, ils nous écouteraient On a frappé, en pensant qu’on créait le monde, Et le capital, nous a dépeints, comme la source du problème Et l’histoire s’écrira encore demain À coups de pieds dans ce système construit pour d’autres Le monde se refait, à chaque fois, si tu y consens, Si tu cries « non » trop fort, la matraque hèle que tu déranges On a marché, en pensant qu’on changeait le monde Qu’une fois ensemble, devant l’évidence, ils nous écouteraient On a chanté, oui j’ai souvent pensé changer le monde Des musiciens, parmi tant d’autres, rêvant d’être écoutés Comme si la colère n’était pas la seule émotion qui se développe Quand on voit son monde se modeler à la volonté du marché Quand je ferme les yeux, j’entends encore les voix De ceux et celles, avec qui j’ai élevé ma voix
6.
Bongopoly 02:44
Quand se regarder devient plus dur que de se laisser aller, Faut se dire que l’temps fini par gagner Si le romance pis les fleurs, c’était pas trop notre fort Faut se dire que ce soir, il est un peu trop tard Ferme pas la porte C’est pas la peine d’emprisonner, le malaise Ferme pas la porte J’y crois peut-être encore un peu J’ai jamais cru que la magie, c’était bien important Pour moi le couple, c’t’un travail à plein temps Maintenant que je vois le bonheur nous couler, entre les doigts J’crois que j’ai le goût qu’on essaie encore une fois Ferme pas la porte C’est pas la peine d’emprisonner, le malaise Ferme pas la porte J’y crois peut-être encore un peu Encore un peu (encore un peu) Encore un peu Ferme pas la porte, C’est pas la peine d’emprisonner, le malaise Ferme pas la porte, Les mots ne pouvaient plus nous retenir, Ferme pas la porte, Je ne savais pas comment te le dire, Ferme pas la porte, J’y crois peut-être encore un peu Encore un peu (encore un peu) Encore un peu (encore un peu) Encore un peu (encore un peu) Encore un peu (encore un peu) J’y crois, Encore un peu, encore un peu J’y crois, Encore un peu, encore un peu J’y crois
7.
Perdu quelque part entre futur et présent J’erre et j’me questionne Comme si j’étais sur un tapis roulant Un cycle absurde, assourdissant Je noie mes milles et une nuits d’envie Et broie le noir, que je sème moi-même Depuis que j’ai 17 ans j’vis le même ennuis Pis j'recommence encore et j'rentre trop tard J’erre un peu plus à chaque matin J’me détache de mon corps et de mes os Mais cette fois j’veux prendre les choses en main Et j'promet que demain j'vais m'lever plus tôt Pour faire le vide dans ma tête Je recherche des trucs éphémères Jusqu’à ce que je sente bouillonner Ma tête par ces rêves égarés Tenter de donner un sens Au temps, à l’argent que je dépense Dépeindre l’habitude enfin Changer enfin de refrain J’erre un peu plus à chaque matin J’me détache de mon corps et de mes os Mais cette fois j’veux prendre les choses en main Et je promet que demain j'vais m'lever plus tôt J’erre un peu plus à chaque matin J’erre un peu plus à chaque matin J’erre un peu plus à chaque matin J’erre un peu plus à chaque matin
8.
Un funambule apathique, tu m’as ramassé par terre Avant même que je touche le sol Si seulement j’pouvais revenir en arrière J’me laisserais tomber Si t’as peur de continuer Prends ma main on peut peut-être se rassurer Je ne sais pas trop ou aller Mais à deux on pourra peut-être se retrouver De l’oreille à la bouche, des nuits à termes repoussables Une folie qui n’appartient qu’aux autres À contre courant du cynisme ambiant Tu me donnes le gout de croire en moi, En la légèreté du présent, en la douceur, De tous ces instants Si t’as peur de continuer Prends ma main on peut peut-être se rassurer Je ne sais pas trop ou aller Mais à deux on pourra peut-être se retrouver Pa pa pa pa J’sais qu’y’a encore des traineries dans ma chambre, Que j’repousse le changement au terme du lendemain Plus de maladresse, que de mauvaises intentions Il faut cerner l’habitude pour s’en distancer Pa pa pa pa pa
9.
J’ai confondu mon cœur Tous mes amours naïfs, Sans savoir comment, m’y prendre les nerfs à vif Comme narcisse qui regarde la glace, Un livre dont je suis le héro Montre moi, qu’on peut recoller les morceaux, J’ai fait joué ta chanson préférée, En pensant peut-être qu’on pourrait danser, Mais j’suis prisonnier de ma tête, Coincé devant l’immensité D’un monde qui se reconstruit à chaque instant, Sur un air un peu triste, À me refuser la magie en figeant le temps Avec des mots Mon regard se perd autours de moi et je réalise que je viellis, Ça me prend trois jours pour me remettre de mon dernier naufrage, Constat en main, je retrace le fil de mes accomplissements Embarras honte espoir et fierté se mélange, À toujours courir après ma propre cohérence, J’oublie de vivre, de nous laisser trébucher J’ai fait joué ta chanson préférée, En pensant peut-être qu’on pourrait danser, Mais j’suis prisonnier de ma tête, Coincé devant l’immensité D’un monde qui se reconstruit à chaque instant, Sur un air un peu triste, À me refuser la magie en figeant le temps Avec des mots Pourquoi quand je tchèque autour de moi j’vois du monde fake et du monde déprimé ? Comment l’artifice a-t-il pu se mêler à autant de laideur ? Pris entre le conformisme du silence, et celui de crier Des bulles qui se figent en accélérée, J’ai fait joué ta chanson préférée, En pensant peut-être qu’on pourrait danser, Mais j’suis prisonnier de ma tête, Coincé devant l’immensité D’un monde qui se reconstruit à chaque instant, Sur un air un peu triste, À me refuser la magie en figeant le temps Avec des mots Chante un peu pour moi, Montre moi à danser, Crie un peu pour toi, Prends le temps d’arrêter
10.
Un moment tu vas peut-être te retrouver seul Parce que plein d'personnes autour de toi, terminent une étape dans leur vie Que la croix entre les chemins devient réelle Mais si c'était pas des averses en janvier L'froid d'février ne se ressentirait pas de la même manière, de la même manière Et il pleut, pleut pleut... Jusqu'en février ! Un moment tu va peut-être te retrouver seul Quand tes convictions et tes amours vont s'effriter Tu vas devoir, faire ton deuil Mais si c'était pas des averses en janvier Le soleil de mai ne se ressentirait pas, de la même manière Et il pleut, pleut pleut... Tout l'été ! Même si tout le noir oblige que tu résone autour de toi Tu restera là, stuck à la même place Sans présence qui supporte tes pas Fek oublie pas, oh non Tout ce qui est beau et qui existe autour de toi Quand tu sortira d'tes gonds Pour en revenir meilleur Fek oublie pas oh non Quand tu seras là et que tu arrêteras tes pas Entre la nostalgie et le bonheur de t'être rendu là Y'a des souvenirs qui vivent encore pour te rendre meilleur oublie donc pas, oh non ! Quand tu seras là et que tu arrêteras tes pas Entre la nostalgie et le bonheur de t'être rendu là Ou des souvenirs vivront encore pour te rendre meilleur Même si tout le noir oblige que tu résone autour de toi Les rivières du saguenay ne se ressentent pas d'la même manière Quand ce qui vibre en nous Se confond en erreurs Quand ce qui vibre en nous Peut nous rendre meilleurs Et il pleut, pleut, pleut Et il pleut, pleut, pleut Et il pleut, pleut, pleut
11.

credits

released December 4, 2020

Paroles et musique : Distance Critique
Aide à la réalisation : Noé Talbot

Enregistrement : Sylvain Dominic et Mathieu Bossé
Mixage : Martin Hudon
Mastering : Ryan Morey

Artwork : Kevin Martel

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