1. |
Sans rien faire
03:07
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Prend pas l’habitude, de croire que tout peut t’arriver sans rien faire
Tu resteras là, tu épouseras ton sort
T’as l’occasion d’être
Celui que tu veux être depuis si longtemps.
Disparu, dans une impression de déjà vu
J’aurais dû laisser, la porte fermée la porte fermée à clé
Partir et ne plus jamais revenir
Croire en ces histoires tous seuls si ça nous plait
C’est toujours la même chose jusqu’à ce que se paye la paix
Dès l’instant où j’ai suivi ton charme
Les lumières se sont allumés
Et l’instant où tu l’a compris
Elles s’éteignent pour l’éternité
Pour l’instant j’ai suivi la promesse
Et je me débrouille, très bien
Si t’oubliais, t’es bonnes manières, ton esprit en serait bien plus clair
Quand l’appel se fera sentir, tu seras plus prêt du ciel
J’aurais dû laisser, la porte fermée la porte fermée à clé
Partir et ne plus jamais revenir
Croire en ces histoires tous seuls si ça nous plait
C’est toujours la même chose jusqu’à ce que se paye la paix
J’suis seul et regarde les autres
Trembler face à leur discisions
Au moins la meilleure des choses
Que j’aie, ne sera jamais à marier
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2. |
Citadelles
03:38
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Le miroir se brise
Quand je me regarde
Tout ce que j’ai fait
Toutes ces histoires que je croyais
Derrière moi
Derrière toi, aussi
Mais l'impression de redescendre,
Semble être bien trop loin, de toi
Les citadelles
Peuvent bien continuer
De pointer vers le ciel, j’ne les regarderai même pas
Avant d’retourner, 200 kilomètres dans l’passé
Comme si c’était facile d’oublier
La route restera longue à faire
Pour mon corps mais pas pour ma tête
Tant que les regrets resteront
J’vais travailler fort, très fort
Pour ne pas m’emporter
Les citadelles
Peuvent bien continuer
De pointer vers le ciel, j’ne les regarderai même pas
Avant d’retourner, 200 kilomètres dans l’passé
Comme si c’était facile d’oublier
J’te regarde, du haut d’la citadelle
Comme si y’a avait pas que les remparts qui nous séparait
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3. |
Fermer l'oeil
03:12
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Une autre nuit à penser, à songer, à rouler,
À croire que la raison me ferait passer à travers
Comprends-tu que nier c’est plus facile que pleurer
Que pour moi demain c’est aussi loin qu’incertain
Les nuits où je m’ennuie, je jurerais que c’est à cause de toi
Et toutes ces envies, que tu me brandis c’est très peu sage
Quand l’air et les murs de mon appartement
Me rappelle le moment, où notre monde était parfait
Quand crier que c’est dur, que j’suis au pied du mur,
Me donne à peine la force de fermer l’œil sur hier
Les nuits où je m’ennuie, je jurerais que c’est à cause de toi
Et toutes ces envies, que tu me brandis c’est très peu sage
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4. |
Insomniaque
03:10
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J’ai essayé d’essayer quelque chose de nouveau
Mais comme à chaque fois, on se rappelle la ligne en trop
C’est dessiné, c’est presque déjà décidé
Le plan est fait, et l’architecte s’endort
On tombe d’hésitation
Dans nos dans décisions
Toujours aux mêmes questions (qui m’harcellent)
Encore bloqué
À essayer
À chercher les yeux fermés (Je suis le seul problème)
Je sais que t’espérais que je fasse mieux
Rendu à cette étape
Mais comprend moi un peu, j’veux pas faire mal
j’veux pas faire mal
j’veux pas faire mal
On tombe d’hésitation
Dans nos dans décisions
Toujours aux mêmes questions (qui m’harcellent)
Encore bloqué
À essayer
À chercher les yeux fermés (Je suis le seul problème)
j’veux pas faire mal
j’veux pas faire mal
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5. |
Libre Genghis
02:56
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Tu me dis que mon courage passe et que ses jours sont comptés
Quand c’est toi, qui a tellement peur d’avancer
Il nous manque sûrement qu’une étincelle
Mais l’oxygène s’met à manquer
Je crois fort, fort
Que l’on est une exception
J’y crois encore, encore
À retrouver, ma raison
On peut continuer d’faire semblant
À se regarder dans les yeux et se voir dedans
S’dire que tout va finir par exploser
Et s’empêcher d’vivre, par peur, que ça fonctionne
Je crois fort, fort
Que l’on est une exception
J’y crois encore, encore
À retrouver, ma raison
Je crois fort, fort
Que l’on est une exception
J’y crois encore, encore
À retrouver, ma raison
(On peut continuer d’faire semblant)
J’y crois encore, encore
(Par peur, que ça fonctionne)
À retrouver, ma raison
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6. |
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L'instant qui résonne dans ma tête.
Moment qu’on apaise à bras ouverts
La fracture crée un silence, dérangeant
Un manque de souffle, et de finalité
Et marque enfin la fin de notre histoire magique, tragique
Ma vie décomposée
En l’instant que je le réalise
Pour me permettre de changer
J’en ai eu assez, de ces histoires de mai
Je n’me sens plus vraiment.
Je ne veux pas dire le mot
Parce qu’on s’en fou vraiment
Ma vie décomposée
En l’instant que je le réalise
Pour me permettre de changer
J’en ai eu assez, de ces histoires de mai
Je n’me sens plus vraiment.
Ma vie décomposée
En l’instant que je le réalise
Pour me permettre de changer
Fracturés assez
Pour ces histoires de mai
Je n’me sens plus vraiment
Ma vie décomposée,
Ma vie décomposée
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7. |
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J’ai encore perdu mon cœur
Emporté par les bourrasques incessantes
Dans ces plaines, et toute cette distance
Entre ton nouveau chez toi
Ou un retour en arrière
Je ne sais juste plus quoi faire
J’te demanderai jamais pourquoi ni comment
Mais t’es yeux me semblent maintenant complément vides
C’est surement inutile
J’avais peur de tomber
Mais je ne pouvais pas t’empêcher d’partir
C’est surement inutile
J’ai autant sinon plus peur que toi
J’ai autant sinon plus peur que toi
J’te demanderai jamais pourquoi ni comment
Mais t’es yeux me semblent maintenant complément vides
C’est surement inutile
J’avais peur de tomber
Mais je ne pouvais pas t’empêcher d’partir
C’est surement inutile
À toutes ces fois où j’ai cru bon d’partir avec toi
J’le sais, que je n’aurais pas eu complètement tord
Mais j’tai laissé vivre et je me suis empêché de t’suivre, en me disant
Que c’était surement inutile
J’ai autant sinon plus peur
J’ai autant sinon plus peur que toi
J’épuise tout mon corps (mon corps)
À espérer, à espérer une histoire
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8. |
Déclencher l'orage
02:53
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Pas explication
J’suis au seuil de mes problèmes
Si seulement j’y avais pensé plus tôt
Sans explication
J’pose des gestes que j’regrette
Impossible d’y avoir pensé plus tôt
J’veux quand même pas, me retrouver seul pour ça
Mais pourtant, on s’rapproche de l’inévitable
Pour toutes ces questions, une même réponse
J’ai pas à énumérer les raisons
Sans compter sur aucune autre explication
J’entends vous donner raison
J’ai essayé de faire passer cet orage
En me disant que demain serait
Plus paisible pour moi et ma tête
J’ai essayé de faire passer cet orage
En me disant que demain je serais
Quelqu’un d’un peu plus respectable
Pour toutes ces questions, une même réponse
J’ai pas à énumérer les raisons
Sans compter sur aucune autre explication
J’entends vous donner raison
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9. |
Grande ourse
03:48
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Ferme les yeux et perds la tête
Le cœur léger
Une nuit sans étoile mais sans nuage
Ferme les yeux le temps s'arrête
À 120km,
Les secondes sont plus courtes qu'une étincelle
Mais oublie pas de m'avertir, avant de partir
Sourire en coin, sans jamais oublier
25 ans de clichés, balancés
C'est évident, mais pourtant
Un feu des yeux,
Une nuit d'un noir qui cache un double sens
Comment s'douter
Que cette fois-ci, ça allait déraper
L'temps d'un instant,
Tout ce qui te suivais derrière se retrouve devant
Ici, maintenant, on combat l'invisible
Sans se poser de questions
On vit dans le moment présent
En se pensant invincible
Sans aucune raison
On s'épuise on se vide
Et on perd le contrôle
On perd le contrôle
Mais oublie pas
Mais oublie pas de m'avertir avant de partir
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10. |
Volte-face
02:57
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Toutes ces histoires
Nous ramènent dans le passé
À tout ces soirs
Qu'on a passé à s'en faire
J’ignorais qu’en ne se fessant pas une seule promesse,
En suspendant les liens, on s’obligerait à vouloir oublier
À regretter ce qui était pour resté caché
Désorienté, j'ai mal à suivre le cours de mes idées
Torturé, par ces histoires qui nous ont épuisés
Tu m'as surpris, entre deux bouteilles, et le bruit du vent
Quand l'infini, s'étalait droit devant
Les astres alignés, j’ferme les yeux mais entend le tonnerre qui tonne
J’laie pas forcée, elle l’as fait et moi j’ai eu mon compte
Quand tes chasseurs me prennent comme une cible, je bas des ailes mais roule comme une bille
La face première de mon péril, c’est qu’on va se reparler en ville
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